The people in the photos were all affected by climate change, displaced by cyclones and years-long droughts. Photographed at five sanctuaries, the animals were rescues that can never be re-wilded. As a result, it was safe for human strangers to be close to them, photographed so close to them, within the same frame.
The fog on location is the unifying visual, as we increasingly find ourselves in a kind of limbo, a once-recognizable world now fading from view. However, in spite of their loss, these people and animals are the survivors. And therein lies possibility and hope. "
_____
" The Day May Break, photographié au Zimbabwe et au Kenya fin 2020, est la première partie d'une série mondiale représentant des personnes et des animaux qui ont été touchés par la dégradation et la destruction de l'environnement.
Les personnes photographiées ont toutes été touchées par le changement climatique, déplacées par des cyclones et des années de sécheresse. Photographiés dans cinq sanctuaires, les animaux sont des rescapés qui ne pourront jamais être réintroduits dans la nature. Par conséquent, il n'y avait aucun risque à ce que des étrangers soient proches d'eux, photographiés si près d'eux, dans le même cadre.
Le brouillard sur place est l'élément visuel unificateur, alors que nous nous trouvons de plus en plus dans une sorte de limbe, un monde autrefois reconnaissable qui s'évanouit maintenant. Cependant, malgré leur perte, ces personnes et ces animaux sont les survivants. Et c'est là que se trouvent la possibilité et l'espoir. "
Ostfildern-Ruit, Hatje Cantz, 2021, 32 x 34 cm, cartonnage, jaquette illustrée (Halima, Abdul and Frida, Kenya), 168 pages.
9783775750899/978-3-7757-5089-9
TEXTE EN ANGLAIS
librairie couleur du temps, hatje cantz, brandt, brant, photographe, photographie, afrique, kenya, zimbabwe, portrait, faune, écologie, environnement,
